jeudi 21 mai 2020

Ce diamant intérieur


 21 mai 2020

Ce diamant intérieur

Imaginez ce diamant intérieur qui vit au plus profond de vous-même et qui n’a qu’une envie s’est de s’épanouir dans le monde et de fleurir dans les yeux des autres pour les guider vers leur propre beauté intérieure, vers ce qui fait d’eux des Êtres exceptionnels. Ces Êtres exceptionnels dont le monde a besoin, maintenant, en ces heures sombres.

La beauté qui sommeille en chacun de nous mérite toute notre attention et notre bienveillance.

En ce moment, je tremble, je m’agite et je me demande comment faire pour protéger tous ces diamants intérieurs.

Votre beauté intérieure me parle et j’ai envie de la faire éclore au monde, de vous montrer le chemin vers cette Terre féconde qui fait de vous, cet Être exceptionnel que le monde demande.

Au fond de votre cœur, sentez-vous cette flamme incandescente qui brûle de vie et qui vous demande de la libérer ? De la libérer dans ce monde, qui vit des instants sombres et qui a besoin de la beauté de chacun, et plus particulièrement de votre lumière intérieure, pour chasser l’angoisse et la peur, qui gagnent petit-à-petit les cœurs.

Alors dansez votre lumière intérieure ! Réchauffez votre cœur !
Artistes ! Levez-vous ! Et brillez votre flamme intérieure!



© Carole Advices, mai 2020

mercredi 13 mai 2020

Que penser de ce qui se passe en ce printemps 2020?


Les lanceurs d'alerte:

Les faits sur le coronavirus:
Les experts:


Les mots clé:
Liberté, GAVI The Vaccine Alliance, Bill Gates, ID2020, Bilderberg, Rockfeller, OMS, Big Pharma, financement, intérêt, Fondation Bill et Melinda Gates,
Droit de se soigner et de soigner selon son âme et conscience.
Obligation de soin.
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Les questions:
Est-ce que le coronavirus covid-19 a été créé par l'homme? Est-ce qu'un brin du virus VIH y a été introduit? Le virus s'est-il réellement échapper du laboratoire P4 de Wuhan? Ou le virus a-t-il été amené en Chine par des militaires américains lors des jeux olympiques militaires (en octobre 2019)? Allons nous conserver notre liberté de pensée et de mouvement?
....


Vaccination

 

Les Enquêtes de Chloé - Episode 1 : La Suisse au coeur des décisions mondiales:




2. S’enfermer dans une prison mentale pour fuir l’insécurité !?


7 mai 2020

S’enfermer dans une prison de peur pour fuir l’insécurité !?

Mais on ne s’enferme que si on croit qu’on n’est pas en sécurité à l’extérieur. Ils ont donc créé l’insécurité à l’extérieur, pour que nous nous enfermions à l’intérieur. Et une fois à l’intérieur de nos maisons, ils y sont encore entrés par les postes de TV, les réseaux sociaux et les autres formes de média pour continuer à insuffler ce sentiment d’insécurité, de menace extérieure et de peur. Maintenant, on se sent insécure même chez soi. Et entre nos quatre murs, nous sommes même invités à nous auto-isoler des membres de notre famille si nous suspectons que l’un des nôtres est porteur du virus.

Alors, même chez nous nous ne sommes plus en sécurité ? Mais alors, où est-ce que je vais pouvoir me réfugier ?

Et là, on fuit et on finit par se réfugier dans sa tête, poursuivit qu’on est par la peur ! On finit par s’enfermer soi-même dans notre tête et nos pensées.
Retranché en nous-mêmes et ayant trouvé cet espace mental comme seul abri, on invite les autres à faire de mêmes : à s’enfermer à double tour dans leur tête pour se protéger de la menace ambiante.
Restez chez vous ! Fermer la porte à clé et ne laissez personne y entrer !
Plus personne ne peut alors venir vous rendre visite, prendre de vos nouvelles ou vous aider… Vous ne laissez alors plus personne venir vous apporter un peu de lumière dans votre refuge construit en murs de peur. Comme une bête affolée traquée par des chasseurs, vous vous êtes réfugié, haletant et terrorisé, au plus profond de vous-même pour qu’on ne vous trouve plus, pour que plus personne ne puisse vous faire de mal. Terré au fond de vous-même, vous espérez que les chasseurs passeront à côté de vous sans vous voir et que la lumière de leurs phares ne vous repérera pas. Comme une bête traquée, vous êtes tétanisé au fond de votre être et vous espérez que le danger passera à côté de vous sans vous voir.

Ainsi figé dans la terreur, vous ne pouvez plus bouger, ni mentalement, ni physiquement. La peur vous paralyse et vous vous coupez mentalement du monde pour ne plus avoir à gérer cette réalité terrorisante. Vous n’êtes plus capable d’entendre les visions de l’autre, ou les avis plus mitigés des personnes qui vous entourent. Vous les trouvez fou de sortir en pleine rue et de s’exposer ainsi au danger…. Mais ils sont inconscients ceux-là de sortir sans leurs gants et leurs masques et de rigoler par groupe de 6 ou 7 dans un parc ! Ils sont cinglés de vouloir vivre dans la joie dans un moment si grave ! Ils mettent tout le monde en danger ces inconscients !

Mais posons-nous la question : Qui est le plus en danger ? Celui qui vit terrorisé au fond de son mental ? ou celui qui décide de vivre libre ?

J’ai vécu terrorisée et prisonnière de mon mental pendant des années ! Il y a quelques années, lorsque le monde était « tranquille » et que chacun vaquait tranquillement à ses occupations, je m’interrogeais en me disant : Comment les gens osent-ils sortir de chez eux ? Ils sont totalement inconscients ! Il y a tellement de dangers à l’extérieur, dans le monde et dans la vie ! Même chez moi, je ne suis pas à l’abri du danger et de la mort…. Et c’est ainsi que je me suis enfermée chez moi entre les quatre murs de peur. Je me suis enfermée dans cet état de peur pendant 4 ans. Pendant 4 ans, je ne suis pas sortie de chez moi, tétanisée que j’étais par la peur.

Et tout le monde me disait : Allez ! Sors de chez toi, tu ne risques rien ! Il n’y a pas de danger à faire quelques pas hors de ta maison ! La vie est belle, profites-en au lieu de passer à côté des belles choses en restant cloîtrée chez toi ! Mais je ne les croyais pas ces fous inconscients qui n’avaient aucune idée des menaces qui planaient sur leur vie chaque fois qu’ils mettaient le nez dehors. Tiens, rien qu’en se préparant pour sortir, ils pouvaient déjà même mourir en faisant une chute dans leur douche! Mais le savaient-ils seulement ces inconscients ! Moi, je le savais, j’avais lu les statistiques sur les risques de mort domestique. On pouvait déjà mourir seul chez soi en faisant un mauvais mouvement, alors le risque était, selon moi, énorme de mourir par la faute des gestes des autres qu’on ne peut pas contrôler. Non, ils étaient vraiment trop fous de m’encourager à sortir dans cette vie extérieure pleine de dangers et où les comportements des gens sont incontrôlables ! Pourquoi ne s’en rendent-ils pas compte ? me disais-je.

Je ne comprenais pas pourquoi ils ne voyaient pas les dangers de la vie comme moi. Et en plus, ils me prenaient pour une folle, alors que tous les chiffres attestant les probabilités de mourir étaient là !

Comment en étais-je venue à affirmer que sortir de chez soi était dangereux ?

Et maintenant que je suis sortie de cette prison mentale qui me maintenait, terrorisée dans la peur, je comprends ce que me disaient ces gens qui m’affirmaient que mon agoraphobie, ma peur panique de sortir de chez moi, était dans ma tête, et que dehors, le danger n’était pas si grand que je le croyais.
Et aujourd’hui, je pense que j’ai pris la place des ce fou inconscient qui vous dit vous n’avez pas besoin d’avoir peur de sortir de chez vous. Vous n’avez pas à avoir peur de la vie !

Ne vous enfermez pas dans une prison mentale de peur. Comme moi, prenez le temps d’écouter ces personnes qui vous invitent à sortir de votre « agoraphobie », de votre peur du monde. C’est dans votre tête. Au-travers des média, vous vous êtes construit une vision angoissante du monde extérieur et de l’autre. Je vous invite à refaire l’expérience de la réalité ! Essayez de franchir le seuil de votre porte, pour savoir si oui ou non, le monde est aussi terrifiant et dangereux qu’on nous le dit.

Sortez ! Ne laissez pas cette peur vous enfermer. Déconstruisez rapidement les murs de votre prison mentale en prenant, par exemple, le temps d’analyser par vous-même la situation actuelle. Ne restez pas uniquement croché sur les infos toutes cuites que nous fournissent les média. Prenez le temps de décortiquer les études scientifiques des experts. Et surtout les études qui ne souffrent pas d’un « biais financier » (= études financés et/ou conduites par les firmes pharmaceutiques).




© Carole Advices mai 2020


mardi 12 mai 2020

1. La Prison Mentale




7 mai 2020

Hier soir, j’ai regardé le film Assassin Creed et cela m’a beaucoup parlé. « Agir dans l’ombre pour faire jaillir la lumière ». Avec les lanceurs d’alerte Silvano Trotta, Thierry Casanovas, Jean-Jacques Crèvecoeur, Tal Schaller, Edward Snowden, entre autres. Je ne veux pas devenir lanceur d’alerte, mas plutôt me tourner vers la désobéissance civile silencieuse, ce que pratiquait Wayne Dyer lorsqu’il se retrouvait dans des conditions qui ne lui convenaient pas.
Être plutôt là pour soutenir les gens dans leur cheminement au travers du récit de mon vécu.

Dans le film Assassin Creed, ils ont fait des régressions vers des vies antérieures, à l’aide d’une machine nommée l’Animus, pour comprendre ce qui s’était passé et pour déterminer où se trouve la pomme d’Éden qui contient le germe de la désobéissance originelle et du libre-arbitre, et donc par-là « la soumission ». Cette aventure de science-fiction me parle tout à fait en ces temps où les notions de privation de liberté, de prison mentale, de soumission volontaire et d’asservissement ressortent à la surface.

La vidéo de 4 des lanceurs d’alerte cités plus haut, nommée Alerte à la santé, alerte à la liberté, aborde très bien le sujet. Ce sont des personnes qui se construisent en marge du système, ou plutôt, devrait-on dire parallèlement au système, tout en y vivant pleinement et en souhaitant partager et offrir aux autres ce qui leur permet de vivre heureux et en bonne santé.

Des connaissances sur les techniques de manipulation mentale, de santé holistique, de mensonge médiatique et politique. J’en suis arrivé à un point où j’ai envie de comprendre. Et j’ai compris une première chose, c’est que me tenir informée, ce n’est pas gober tout ce qu’on me dit. Ainsi, s’informer, ce n’est pas gober la version des autres, mais se renseigner sur tous les points de vue et se faire sa propre opinion.

J’aime bien l’image que met Silvano Trotta à la fin de ses vidéos consacrées aux Fake News. Il s’agit de l’image d’un coup de pied dans un poste de TV. Par ailleurs, dans le générique de nombre de ses vidéos, il nous rappelle que nous sommes 99% et que ceux qui poussent l’information et le monde dans le sens actuel, ne représentent que 1% de la population. 1% de personnes qui ont décidé de façonner le monde à leur façon et selon leur goût, mais surtout dans l’irrespect de la qualité humaine : dans l’irrespect de la santé, de la vie et de la liberté des autres.

Décider que 15% de la population doit disparaître comme l’a suggérer Bill Gates : “The world today has 6.8 billion people. That’s heading up to about nine billion. Now if we do a really great job on new vaccines, health care, reproductive health services, we could lower that by perhaps 10 or 15 percent.” Source: Michael Snyder (2011) dans End of The American Dream.

Décider de priver ses semblables de la liberté de disposer de leur corps, de leur esprit et de leurs mouvements, c’est un idéal, qui à mon goût, n’est pas noble.

Je sais qu’en faisant ce que je fais, qu’en suivant leurs directives de confinement, je joue leur jeu et je les rends plus puissants. Mais, j’étudie les choses de l’intérieur. Je prends soin de la liberté de mon esprit, de mon âme et de mon cœur, pour chaque jour devenir plus forte dans ce débat sur les libertés de vie individuelles.

Que ma pensée soit claire. Que ma pensée reste claire en ces temps où règne le brouillard de la peur. Prendre soin de moi, de mon âme et de ma conscience. Garder la foi et la confiance en la capacité humaine à se réveiller et à ne pas se laisser enfermer dans son mental. Suivre son cœur. Suivre la voie/voix du cœur.
Est-ce que dans mon cœur, j’ai envie de vivre une vie comme celle qu’on est en train de me proposer ? Comment élever ma fille dans des conditions qui s’annoncent si difficiles ?
En même temps, je sais que si nous sommes sur Terre en ce moment, c’est qu’on est capable de le faire…

Désobéissance civile (silencieuse ?), tel est le mot qui me trotte dans la tête depuis quelques jours. Me raccrocher à Wayne Dyer, à ses pratiques spirituelles ? Prendre soin de mon cœur, de mon corps et de mon esprit. Prendre soin de mon âme. Reprendre le plein pouvoir de ma vie. Ne plus laisser les autres décider pour moi de ce qui est bien. Ne pas me laisser enfermer dans cette prison mentale qu’on m’invite à adopter.

Les briques de ma prison mentale se sont bien élevé depuis deux mois, et j’ai bien failli m’enfermer entre quatre murs comme je l’ai fait il y a 20 ans.
Jeune adulte, je m’étais construite ma propre prison mentale avec les briques que les psys me donnaient. Je les acceptais sans (trop) broncher et je les ajoutais une à une à l’édifice.
Aujourd’hui, le même phénomène se reproduit, mais à une échelle plus grande. Ce ne sont plus les êtres un peu « différents » à qui on propose de s’enfermer dans leur tête, mais à toute la population. Et quelle forme prend cette prison mentale : celle de la peur.

La peur nous pousse à nous retrancher au plus profond de nous-mêmes. Et ce retranchement, cet enfermement, finit par se manifester dans le monde physique : on finit par se retrancher volontairement chez nous, entre nos quatre murs. Une fois enfermé mentalement, on s’enferme physiquement. Et une fois enfermé physiquement, on finit par se couper totalement du monde. Cela marche dans les deux sens.

En ce moment, les autorités, les grandes firmes pharmaceutiques et les puissants de ce monde jouent sur ça. Ils nous coupent physiquement des autres pour nous inviter mentalement à nous couper des autres ; à couper nos liens sociaux, physiques et mentaux, avec les autres.
La distance physique invite à la distance sociale et le cerveau finit par apprendre que se tenir à l’écart des autres est la norme, le comportement normal à adopter. Plus il va répéter ce geste de distanciation, plus ce geste va devenir un automatisme et plus il va le cerveau va l’intégrer dans la panoplie de ses comportements de base.

Cette boucle de rétroaction distanciation physique-distanciation mentale (et retranchement mental-retranchement physique) commence alors à s’auto-alimenter. Et en combien de temps l’être humain finit par adopter durablement un nouveau comportement ? Après combien de temps à pratiquer chaque jour un comportement, celui-ci devient-il un automatisme auquel on ne prête plus attention ? Après à peine 21 jours pour les comportements les moins complexes. Et après 90 jours, les comportements les plus complexes peuvent devenir une habitude.
Mais au bout de quelques jours, un comportement peut être totalement intégré si le choc d’une menace pour la survie de l’organisme a été très grand. N’est-ce pas ce que nous fait vivre le confinement et le choc de l’apparition d’une menace invisible que personne ne semble parvenir à contrôler ? N’est-ce pas le cas avec le confinement « imposé » du jour au lendemain et le matraquage quotidien de nouvelles sombres et inquiétantes concernant le nombre de morts que fait cette dangereuse menace invisible ?

Comme l’explique la théorie du conditionnement classique, on finit par associer le comportement « restez chez soi et à distance des autres » comme étant la réponse à fournir lorsqu’on entend le terme de Covid-19.

Le conditionnement classique […] est un concept du béhaviorisme proposé par Ivan Pavlov au début du XXe siècle. Cette théorie s'intéresse aux résultats d'un apprentissage dû à l'association entre des stimuli de l'environnement et les réactions automatiques de l'organisme. […] L'apprentissage par conditionnement classique serait la cause de nombreuses phobies. Source : Wikipédia 2020.

Mais là, il me semble qu’on va plus loin. On ne se conditionne pas seulement à rester chez soi, mais aussi à rester mentalement à distance des autres et des opinions divergentes.

Faire régner l’insécurité ambiante. Insuffler la peur pour faire changer les comportements et les états de pensées en un temps record. En 2 mois, en 60 jours seulement, ils ont réussi à modifier durablement notre état d’être, notre rapport aux autres, à notre corps et à la maladie, et notre manière de penser. En quelques dizaines de jours seulement, ils ont réussi à nous faire changer « volontairement » et durablement notre comportement, notre façon d’être au monde, notre personnalité et notre regard sur la vie et sur la santé.

Les personnes, comme moi, qui ont déjà été poussées à se construire une prison mentale et qui ont trouvé la clé pour en sortir, (c’est-à-dire qui ont démantelé brique par brique, croyance par croyance, cette prison mentale qu’ils se sont construite avec les briques apportées par d’autres), ont certainement repéré les éléments de processus similaires à l’œuvre dans la situation actuelle.

Mais, comme par le passé, je risque à nouveau de passer pour une personne qui ne voit pas la réalité en face. Une psychotique quoi !
Mais de quelle réalité parle-t-on ? De cette réalité que les gouvernements, les firmes pharmaceutiques et les grands de ce monde ont construite ? Cette réalité de Peur ? Cette réalité où tout le monde vit dans la terreur ? Cette réalité où la peur de l’autre est la norme si on veut être serein ?
Garder ses distances ! Rester chez soi (aussi bien mentalement que physiquement) ! Oublier les joies de la vie ! Se contenter de consommer des médias et de l’info angoissante retranché chez soi ! Cette info pré-mâchée et triée par les médias ! Ne plus faire confiance à ses propres pensées ! Ne plus disposer de sa propre liberté de penser !
S’enfermer mentalement dans une prison dorée où l’autre ne peut plus s’approcher….

Je ne vais pas me laisser enfermer. Non, je ne vais pas construire ma propre prison et m’y enfermer à double tour en me bouchant les oreilles et en fermant les yeux le plus fort possible. Non, je ne vais pas construire mon propre cercueil de vair pour m’y enfermer, en jeter la clé et attendre la mort (mentale et physique).

La clé de ma liberté, je l’ai en main. Moi seule peux ouvrir la porte et reprendre ma liberté. Ma liberté mentale. Ma liberté de penser. Ma liberté de vivre.

Comment aider les autres à ne pas s’enfermer ; à sortir de leur prison mentale et à garder leur liberté de pensée ?



© Carole Advices mai 2020